Les discussions ont porté sur les moyens et stratégies pour garantir la sécurité à tous durant la fin d’année. Il en ressort de ces échanges que la ville de Cotonou doit-être assainie et sûre. Il a été décidé qu’il n’y aura plus aux carrefours et aux feux tricolores des mendiants et vendeurs à la criée, le stationnement anarchique des camions.
Pour Joseph Gnonlonfoun, la sécurité et l’assainissement de la ville nécessitent plus de ressources financières, ce dont ne dispose par la mairie.
La vision du préfet du Littoral est d’”avoir pour la fête de fin d’années une visibilité absolue de la ville de Cotonou”. Il estime que “Cotonou ne peut pas continuer à être la poubelle des autres villes”